Sujets similaires

Messages · ☁ **Messages** : 155 ☁ **Date d'inscription** : 13/05/2012

Ophélie Megan Nightingale

« the dark i know wellt »

Je m'appelle Ophélie Megan Nightingale, je suis né(e) le 03/03/1989 à Lonres. J'ai donc 23 ans oui oui ! Dans la vie je suis policière spécialisée dans les affaires de viols. Sinon je suis célibataire depuis toujours, vous y croyez ? Je fais partit des push it car c'est ce qui me définit le mieux. Après.. On me dit souvent que je ressemble à Nina Dobrev mais quand je me regarde je ne trouve aucun air de ressemblance..

Megan n’a rien d’une tendre. Souffrant de son passé douloureux, elle ne s’ouvre pas facilement aux autres, surtout niveau sentimental. Tomber amoureuse et parle d’elle ne fait pas vraiment partie de son mode de vie, surtout avec les hommes. La jolie brune passe la plupart de son temps à travailler, un moyen de venger l’enfance douloureuse qu’elle a vécu. Assignée spécialement aux cas d’abus sexuels et de victime de viol, elle passe une majeure partie de son temps à travailler sur ces affaires. Quelque chose qui lui tient à cœur, souhaitant que personne d’autre ne vive cela. Contrairement à ce que l’on peut penser, la jeune femme aime à jouer avec les hommes, ayant connu tout au long de sa jeunesse les mérites de sa beauté. Elle ne se trouve pas d’autre qualité. Elle souffre d’un passé lourd qui à eu beaucoup de répercussions sur sa vie actuelle. Comme le fait qu’elle n’arrive à être en couple, retournant à la base et se laissant allez à quelques infidélités. Elle aime à faire de la prévention dans les écoles, pour prévenir les jeunes femmes et les sensibiliser à cela. Megan à un bon fond, elle a juste beaucoup de problèmes et s’attacher à elle serait surement un poids, comme elle reste particulièrement secrète sur sa vie.

→ qu'est-ce qui compte le plus pour toi ? ce que pensent les gens de toi ou faire ce que tu veux quand tu veux ?
Elle ne prend pas vraiment en compte ce que les gens pensent d’elle. Peu importe. Megan fait ce qu’elle doit faire sans se poser la moindre question. Le regard des autres ne l’importe peu. Que ce soit es collègue de travail où autre. Cela n’a pas réellement d’importance. Personne ne connait réellement la brune, elle ne parle pas de sa vie et les gens ne peuvent pas la comprendre de fond en comble. De toute façon, elle ne le veut pas réellement.
→ comme c'est passé/imagines-tu ta première fois ?
Sa première relation. Elle n’en parle pas et la regrette. Victime d’u abus qu’elle n’a pu contrôler, elle en reste marquée encore maintenant, des années plus tard. Parfois, elle souhaite reculer dans le temps pour ne jamais subir cela et pour crier à sa mère de croire ce qui se passait. La pire première fois de sa vie et pourtant pas la dernière avec on beau-père qui ne semblait pas avoir envie de la laisser en paix. Megan aurait aimé avoir une première fois beaucoup plus calme, douce, sans prise de tête et avec quelqu’un qu’elle aimait. Ce ne fut pourtant pas le cas et on ne peut pas changer le passé.
→ penses/sais tu que ta première fois sera/étais l'amour de ta vie ? Ce n’était pas du tout l’homme de sa vie. Elle ne voulait rien savoir de lui. Depuis toujours, elle éprouvait une haine pour lui et maintenant, elle à un ta de regret en rapport avec cette relation. Elle n’en parle pas, elle ne l’aime pas, elle ne rêve que de lui coller une balle entre les deux yeux.
→ et aujourd'hui, tu en es où coté coeur ?
Comme elle n’est pas une sentimentale, elle n’a personne dans sa vie. Elle ne fait que se taper dans hommes sans importances. Elle ne se pose pas de question et fait ce dont elle a envie. Niveau sexuel, elle est très ouverte, mais quand on parle de sentiments c’est toute autre chose. Pour l’amour on reparle, elle n’est surement pas le genre de femme à être calme, douce et fidèle, mais on ne sait jamais.

derrière l'écran..il y a toi !

PSEUDO/PRENOM ☁ Meery ÂGE ☁22 ans PAYS ☁ CanadaDECOUVERTE DE SA ☁ Projet sur bazzart QU'EN PENSES-TU ? ☁ écrire ici. PERSONNAGE ..SCENARIO/INVENTE ? ☁ InventéUN PETIT MOT POUR LA FIN ☁ TROP BEAU FORUM ET contente d'être là

Messages · ☁ **Messages** : 155 ☁ **Date d'inscription** : 13/05/2012

Ophélie Megan Nightingale ❧ The dark I know well 5f245-springawakeningessaietrois41

Londres, 13 ans
Étendue dans le fond de sa chambre, son regard était posé sur le plafond. Incapable de dormir, elle attendait. Mauvais pressentiment. Malaise qu'elle ne pouvait comprendre. Ses yeux restaient simplement posés sur le plafond sans qu'elle ne fasse quoi que ce soit. Ses pensées allaient dans tous les sens. Elle était seule ce soir. Ses parents étaient ailleurs. Une soirée en couple. Juste se détendre le temps d'une soirée. Étendue dans sa chambre, elle attendait. L'heure passait lentement et elle était incapable de se sentir calme. Avec raison. Un petit moment s'écoule et le téléphone se fait entendre. Un bond et elle se lève de son lit. Le téléphone se pose contre son oreille. Elle attend. Mauvaise nouvelle. La pire nouvelle de sa vie. Un accident de voiture et ses deux parents sont à l’hôpital à ce moment même. Son cœur arrête de battre. Elle raccroche. Un taxi. La nervosité. Elle tremble tout le long du trajet. Une course. Elle pousse les portes et finit par aboutir dans la chambre où se trouve sa mère. Elle va bien, quelques blessures, mais sans plus. Un soupire. Elle bouge et va voir son père. C'est autre chose. La scène fait peur. Les blessures sont atroces. Des machines l'entourent. Des tuyaux partout. Il ne va pas bien. Elle retient un sanglot quand elle s'approche de lui. Il est dans le coma et risque de ne jamais se réveiller. Vision troublante. Envie de pleurer atroce. Sa main qui attrape celle de son père. Elle se penche un peu vers lui. Megan avait toujours été près de son père. Un ami. Un confident. Elle sent les larmes couler sur ses joues. C’est la fin de quelque chose et le début d'autre chose. Un changement en elle qui s'opère. Un changement, un renfermement, une souffrance, un manque. « -Me quitte pas papa. Tu peux pas me faire ça. Je vais faire quoi sans toi? Je vais faire quoi si tu n’es pas là? T'étais toujours là pour moi, tu me connais par cœur. Je suis ton ange, ta petite fille, ton bébé. Tu peux pas me laisser comme ça.» Voix tremblante. Elle souffre. Elle ne veut pas le perdre, mais elle ne peut rien faire. Il ne lui répond pas. Il est parti et risque de ne plus jamais ouvrir les yeux. Les larmes qui coulent contre ses joues. Sa tête qui se pose sur son torse. Elle sanglote. Elle pleure. Elle souffre.

Londres, 15 ans
« -Va chier putain. T’es qu’une salope. Fou moi la paix.» La porte se claquait avec force alors que l’adolescente se brisait les cordes vocales tellement elle criait avec conviction. Barrement de serrure. Rage intense. Dégout profond. Depuis la morte de son père. Sa vie n’allait plus. Rien de joyeux. Elle n’aimait pas le fait que sa mère ait remplacé aussi rapidement son père avec un homme beaucoup plus jeune. Un homme qui tentait de prendre trop d’importance dans la vie de la brune. Soupire. La blonde se dirigeait vers son système de son qu’elle allumait pour mettre la musique aussi forte qu’elle le pouvait. Question de se changer les idées, question de ne plus entendre la voix de sa mère qui lui criait dessus. Pour emmerder le peuple. Pour emmerder ses parents. Sa mère. Une pauvre femme qui n’avait plus aucune importance dans la vie de sa progéniture. Ce n’avait pris que deux semaines avant qu’un autre homme se trouve dans la maison. Elle le détestait. Si elle avait pu le tuer, elle l’aurait fait. Elle y avait pensé. Plein de fois. Trop de fois. Elle rêvait d’entendre son souffle lui manquer. Voir ses yeux vriller. Une haine profonde pour son beau-père. Elle cherchait frénétiquement dans ses tiroirs, tirant des avec force pour les faire tomber sur le sol. Ce petit sachet de poudre. Ce petit sachet de drogue qui lui permettait de partir et de se sentir bien. Se sentir ailleurs. Après un petit moment de recherche, elle tombait sur l’objet de ses désirs. Poudre blanche se déversant sur son bureau. Papier roulé entre ses doigts. Elle se penchait par-dessus pour le faire entrer dans son organisme. Elle en avait besoin. Depuis la mort de son père et l’arrivée d’un autre homme, elle en avait simplement besoin. Sourire. Les deux lignes entraient parfaitement dans son crâne. Défoncée. Elle montait la musique encore plus forte et se mettait à danser. Balançaient ses hanches comme une traînée de droite à gauche. C’est ce qu’elle était? C’est ce que le copain de sa femme lui disait quand il se glissait dans sa chambre, vanter sa beauté si pure. Elle planait. Partie dans un monde qui était le sien. Un monde où elle se sentait parfaitement bien. Elle dansait sans se poser la moindre question. Une voix se faisait entendre à travers la porte. Forte. Grave. Méchante. Frisson. Haine viscérale. Dégout profond. Son beau-père. Il lui sommait de fermer sa musique. Megan ne voulait pas. Le son se montait. Il faisait vibrer le plancher. Grouiller le sang sous sa peau trop blanche. Craquement. La porte volait en lambeaux. Son père venait de l’éclater. Geste brutal. Son cœur se serrait. Son visage se fermait. Douleur lancinant son visage. Du sang déferlant le long de sa bouche. « -C’est ça espèce de fou, frappe-moi. T’aimes ça quand je cri. Quand je pleure.» Sifflement dit entre ses dents. Elle aurait voulu le tuer. L’étrangler. Il était grand. Trop grand. Fort. Trop fort. Elle se retrouvait contre le mur. Son père collé à son corps trop faible. Son corps rachitique d’adolescente souillée. Il la voulait. Elle le savait. Elle le détestait. Il le savait. Il glissait une main sur sa poitrine avec froideur. Force. Son regard se perdait dans le vide. Elle avait envie de mourir. Maintenant. Là. Ce n’était pas la première fois qu’il abusait de son corps et sa mère qui ne voulait rien voir. Sa première relation avait été avec un homme qu’elle ne connaissait pas et qu’il l’avait contrainte à lui offrir son corps. Sa mère ne faisait rien et ne voulait pas croire sa propre fille. Elle lui en voulait pour cela. « -C’est ça. Baise-moi. T’es bon que pour ça. Baiser tout ce qui bouge. Un jour je vais te crever espèce de porc.» Bruit de ceinture. Le pantalon tombait sur le sol. Une douleur lui prenait dans le bas ventre. Elle avait mal. Trop mal. Elle était morte. Absente.